Baselworld 2014: Il Giardino Marino di Bvlgari
Baselworld 2014: Il Giardino Marino di Bvlgari
Une immersion dans la beauté marine associée à la complication horlogère
Bvlgari a l’art de cultiver son jardin. Poursuivant son exploration des merveilles de la nature, Bvlgari propose aux élégantes, avec Il Giardino Marino di Bvlgari, une immersion dans l’univers rare de la beauté marine associée à la complication horlogère.
L’an dernier, déjà, le département des créations de haute horlogerie de Bvlgari avaient proposé une première montre à grande complication pour femme. Baptisée Il Giardino Tropicale di Bvlgari, qui reprenait les sources d’inspirations naturalistes chères au joaillier italien. A l’aube des années 90, la collection de bijoux « Naturalia », avec ses formes végétales et ses couleurs chatoyantes, puisait dans les trésors variés de la flore et de la faune pour enchanter l’univers des bijoux.
Voici désormais une nouvelle variation sur les thèmes botanistes et zoologiques, avec cette montre bracelet réalisant le tour de force de marier l’art de la miniature, si prisée en Italie depuis les artistes de la Renaissance, et la perfection de la haute joaillerie, signature maîtres-artisans de la maison, aux prouesses de la précision de la haute horlogerie suisse.
Il Giardino Marino di Bvlgari entraine dans une plongée vers un univers onirique, dans lequel le monde du silence trouve son rythme dans les oscillations harmonieuses d’un mouvement tourbillon dont la sophistication technique répond à la beauté limpide.
Soutenu par un pont saphir d’une incroyable transparence, le tourbillon de ce garde-temps d’exception, se révèle à travers un guichet rond; ouvert comme le hublot d’un bathyscaphe parti à la découverte d’un monde sous-marin enchanteur, coloré et tonique. La réserve de marche de ce Calibre BVL 263, exécuté en platine, avec une masse oscillante en or 22 carats assurant le remontage automatique, lui autorise 64 heures d’autonomie.
Comme la perle est préservée par le coquillage, la finesse de cette mécanique précieuse s’agrémente, sous la main experte et agile des maîtres-artisans de la manufacture Bvlgari, de décors Côtes de Genève et d’un fin perlage. De subtils ornements enfermés dans un boitier de 37 mm de diamètre, façonné en or rose à 18 carats, et dont la lunette pourra soit être ornée du nom de la maison Bvlgari, soit être serti de 36 diamants facettés représentant à eux-seuls 2,88 carats. Il faudra savoir la prendre dans ses filets, car il n’en existera que cinquante exemplaires de chaque version. Un gage d’exclusivité. Montre rare des occasions élégantes, l’élément aquatique sera aussi son domaine, puisqu’elle est étanche à 30 mètres
Mais le vrai plaisir de la montre à grande complication de Bvlgari n’est pas l’aventure sportive du fonds des mers, mais le voyage esthétique offert par son cadran féérique. Chaque élément décoratif du cadran est une surprise pour le regard. Tandis qu’un banc de poissons espiègles semble flotter dans l’onde pure, des étoiles de mer scintillantes jouent entre les ramages de précieux coraux.
Afin de rendre grâce à la nature, l’artiste a choisi de travailler avec des matières authentiques. Rien moins que la nacre, le corail, la turquoise, et le diamant. 29 brillants taillés dessinent le cœur des étoiles de mer et rythment les coraux. Toile de fond de cette composition, une laque bleue à la teinte profonde, évoquant la profondeur pure des océans, autant que la transparence des plus beaux saphirs.
Pour parvenir à un tel résultat, les maîtres-artisans de la manufacture Bvlgari ont fait appel aux techniques ancestrales de la marqueterie et au savoir-faire hérité de l’expérience de la haute joaillerie.
Pour créer un tel garde-temps, il convient de savoir prendre son temps. Avec sérénité, patience et précision, les maîtres-artisans donnent vie à la main aux cadrans au terme d’un minutieux travail apparenté aux techniques de la marqueterie. La plaque du cadran en or, est tout d’abord travaillée afin de lui donner dans le volume ses motifs - poissons, coraux – avant d’être enduite sur le fond de sa laque d’un bleu intense. Une fois effectué le sertissage des diamants taille brillant dans leur loge, l’étape suivante consistera à recréer la vie sous-marine. L’artisan va polir à la main chacune des pierres retenues dans la composition chromatique pour leur conférer un aspect « coussinet », très doux dans ses volumes. Chacun des éléments, qu’il soit de corail, de nacre blanche ou de turquoise, requiert minutie et délicatesse avant d’être terminé, puis ajusté sur la loge qui l’accueille.
Ainsi la naissance de chaque exemplaire de cette montre prestigieuse est-elle comme un nouveau printemps de la création. L’ensemble suppose une maîtrise hors du commun des savoir-faire. Un tour de main et un coup d’œil, que nulle machine ne saurait reproduire, et qui ne sont le fruit que de l’intelligence et de l’expérience, de la connaissance et de la passion.