Il est en avance sur son temps mais donne l’heure parfaitement juste. Il est précieux mais ne brille pas. Il s’inscrit dans une gamme reconnue et prisée, mais il est unique et nouveau. Son nom ? Diagono Ultranero. 

Imaginés pour un usage quotidien et intensif, axé sur l’efficacité, sans renoncer au raffinement et à l’élégance, les chronographes à trois compteurs Diagono sont voués à accompagner leur possesseur vers les plus hauts degrés de performance et de précision. Son patronyme est en soi une destinée, puisque Diagono dérive du terme grec ancien « agon », synonyme de compétition. 

Déjà, il y a un quart de siècle, la première montre Diagono présentée par Bvlgari était déroutante : au-delà du dessin classique de son cadran, inspiré par le discobole de Myron, symbole sportif universel puisant dans la culture des athlètes antiques, son boîtier était façonné dans de l’aluminium. Ce matériau résistant et léger est depuis longtemps privilégié pour la compétition, notamment automobile, mais curieusement il était quasi inconnu en haute horlogerie de luxe. 

Bulgari, en gravant son empreinte en toutes lettres sur sa lunette, à la manière des créations horlogères les plus emblématiques de la célèbre maison de haute joaillerie romaine, lui a donné ses lettres de noblesses avec une collection de montres chronographes de caractère, renouvelée en 2014 par quatre variations très singulières, faisant appel aux matériaux technologiques de l’époque : carbone ou céramique. 

Parti pris résolument contemporain, le boitier rond de 42mm, en acier traité en surface selon la technique DLC (Diamond Like Carbon) connue pour sa résistance aux aléas d’utilisation comme les éraflures, s’habille, dans les quatre nouvelles versions, de noir profond. Complétés par des bracelets de caoutchouc renforcés d’inserts en acier satiné, ces montres bracelets polyvalentes et étanches à 100 m, seront aussi à leur aise au poignet de l’homme-grenouille en tenue de plongée que du prince charmant en habit de soirée. 

Jouant de subtils effets de contraste, chaque modèle se pare, pour la lisibilité parfaite de son cadran, de fines touches de couleur : jaune, rouge, blanc ou or. Ainsi, la trotteuse de chronographe, le chemin-de-fer de la minuterie ou les graduations de sous-compteurs se distinguent-ils d’un garde-temps à l’autre, sans rompre l’harmonie et l’homogénéité de la famille Diagono, et accentuant, avec le revêtement Super-LumiNova, la facilité de lecture des instruments de mesure, commandés par des poussoirs d’acier, ou de la date affichée dans un guichet. 

Les quatre chronographes, fabriqués en Suisse par la manufacture Bvlgari, sont mus par une même mécanique : le calibre B130, un mouvement à remontage automatique de 37 rubis, dont le balancier décrit 28’800 alternances par heure. Disponible à partir du printemps 2014, les chronographes Diagono Ultranero disposent de 42 heures de réserve de marche : l’aventure peut commencer. 

Diagono Ultranero Chronographe

• Boîtier en acier avec traitement DLC (Diamond Like Carbon), 42mm de diamètre ; lunette en or rose 18ct ou céramique noire selon la version ; couronne vissée en or rose 18ct ou en acier et céramique noire,  poussoirs en céramique noire ou en acier ; étanche à 100 mètres.
• Mouvement mécanique à remontage automatique, Calibre B130, 28’800A/h, 42 heures de réserve de marche ; indication des heures et des minutes, trotteuse de chronographe, compteurs totalisateurs des secondes, des heures et des minutes.
• Cadran noir avec index et aiguilles traités à l’or rose, ou cadran noir avec index et aiguilles rhodiés et Superluminova® ; trotteuse de chronographe,  aiguilles de compteurs et graduations respectivement jaune, rouge ou traitées Superluminova®.
• Bracelet monobloc en caoutchouc avec inserts en acier et boucle ardillon, traités DLC pour la version avec lunette en or rose 18ct.