Un coup d’œil au cadran de la montre aura suffi. Soudain, un univers s’ouvre. Le regard glisse sur la montre, et, en une fraction de seconde, la ville s’efface au profit du rivage. L’active réalité urbaine s’estompe, remplacée par des souvenirs heureux de bords de mer, des désirs de grands fonds. Peu de garde-temps ont une dimension évocatrice aussi puissante que Diagono Scuba, la montre sportive de Bulgari par excellence. 

Les deux nouvelles interprétations de cette montre de référence sont équipées du calibre manufacture BVL 191 Solotempo à remontage automatique. Elles disposent naturellement des attributs indispensables à toute montre de plongée : étanches à 300 mètres, lunette crantée mono-directionnelle permettant de prendre la mesure des temps d’immersion alors que les index bien dimensionnés surmontent le bleu océanique du cadran. Toutes deux dotées d’un boîtier en acier, elles offrent à choix un bracelet en caoutchouc bleu ou un bracelet composé d’éléments d’acier.

Bien sûr, la performance tient une place centrale. C’est justement parce qu’elle réussit cette équation que Diagono Scuba ne cesse de séduire amateurs de plaisirs aquatiques et, par-dessus tout, les esthètes. 

En habit de ville comme en tenue de soirée, aux commandes d’un deux roues ou dans le métro, elle adopte les codes de la vie urbaine : moderne, sophistiquée, rapide, décomplexée. Racée, Diagono Scuba se combine au formalisme des événements de la vie professionnelle ou sociale. Mais, comme pour celui qui la porte au poignet, son terrain de jeu favori, c’est l’eau. 

De Nantucket à Capri, de Portofino à Cape Cod ou aux rivages lointains des Caraïbes, Diagono Scuba, s’est imposée auprès de la haute société comme la montre des connaisseurs. Non comme un simple instrument technique supplémentaire, encore moins comme un simple accessoire de marque. Diagono Scuba a sa place au poignet des personnes sûres de leur goût et de leurs choix, n’ayant rien à prouver. 

Une plongée dans les origines

Eté 1994 : Bulgari introduit un nouveau modèle, Diagono Scuba. Cette montre redessine instantanément les standards qui définissent la montre sport chic.  A l'aise en milieu marin par vocation, elle s’affirme tout aussi souveraine sur une terrasse animée de Porto Cervo. 

Celle qu’on appelle désormais affectueusement la Scuba est devenue le symbole d’un mode de vie empreint d’hédonisme.  Plus de 20 ans ont passé et Scuba en demeure l’incarnation, avec ses deux nouvelles déclinaisons 2016 qui font font la part belle à une teinte qui lui va comme un gant : le bleu.

Contemporaine, urbaine, aventurière : une montre sportive n’est pas obligée d’abdiquer son style pour prouver son efficacité. Car Diagono Scuba  n’est pas une simple plongeuse, bardée de tous ses brevets d’étanchéité. Elle est avant tout la représentation de la montre élégante, empreinte de ce raffinement italien contemporain si particulier, même si elle revêt les attributs d’une tenue de plongée. 

L’aventure de Scuba débute en 1994. Bulgari décline en version plongeur sa montre sportive Diagono. Bien plus qu’une alternative aux montres à vocation subaquatique de prestige de l’époque, Diagono Scuba s’impose rapidement auprès d’une clientèle lassée par les autres montres de plongée devenues communes ou répandues. 

Dans les cercles très prisés de l’univers nautique international, Diagono Scuba, disponible en or ou en acier, montée sur l’étonnant et très spécifique bracelet de métal ou sur caoutchouc, se fait sans peine sa place sur les ponts des voiliers en régate comme des grands yachts en croisière. Elle offre en outre un avantage significatif lié à son élégant design: nul besoin de changer de montre à l’heure des cocktails ou du dîner. Elle s’adapte à toutes les occasions de sa vie, sous l’eau certes mais également en dehors des moments strictement sportifs.